La précocité

Faites confiance à votre enfant pour qu’il ait confiance en lui. Il a toutes les clés pour réussir. Valorisez le !

Vaste sujet que la précocité !

Il existe autant de cas différents que d’enfants concernés !

On vous en déjà parlé mais vous ne voulez pas le croire ! “Il n’est pas brillant… Il est plutôt bébé même”. Et bien oui, la précocité se cache derrière des façades.

Aider un enfant précoce ou HPI

Je suis bien placée pour les reconnaître car j’ai moi-même un fils reconnu précoce à l’âge de 8 ans. Il en a 22 aujourd’hui. Ce fut le parcours du combattant et c’est pour vous éviter cela que j’aide vos enfants et vous, parents à accepter cette différence et à en faire une force…

L’enfant précoce ou HPI (haut potentiel intellectuel) a en général des facilités pour mémoriser

mais il ne sait pas apprendre et n’aime pas ça. “Ca ne sert à rien”, dit-il souvent. Souvent il sait lire très tôt. Il préfère les exercices difficiles que les exercices faciles. Il a plutôt de grandes facilités avec les maths. Par exemple mon fils n’a jamais appris les tables de multiplication mais il les savait.

L’enfant précoce déteste l’injustice et c’est très exacerbé chez lui. D’où parfois des problèmes de comportement en classe. Il est aussi hypersensible, aux odeurs, aux goûts, aux ressentis, à l’intuition. Il ressent les émotions des autres. Par contre, il a du mal à dire ce qu’il ressent. Il ne sait pas !

Parfois la précocité se cache derrière une dyslexie ou un comportement hyperactif. D’où la difficulté à le reconnaître. D’ailleurs souvent l’enseignant vous dira : “Il n’est pas précoce sinon ça se verrait dans ses notes !” L’enfant précoce dira souvent qu’il s’ennuie en classe.

Le test Wisc 4 qui détermine le QI de l’enfant évaluera 4 critères pour établir un résultat : compréhension verbale, raisonnement perceptif, mémoire de travail et vitesse de traitement.  C’est la moyenne de ces 4 items qui déterminera le QI. Un enfant est dit à haut potentiel lorsqu’il atteint plus de 130, ce qui représente 2,5% de la population.

L’EFT ne changera pas votre enfant mais l’aidera à apprivoiser ses émotions et vous apprendrez à voir votre enfant autrement. Inutile de mettre la pression à un enfant précoce, c’est contre-productif !

Extrait de Science & Vie QR n°22 "Le génie & ses mystères"

C’est pourtant une réalité pour près d’un tiers des enfants à haut potentiel, dits surdoués, qui se retrouvent en échec scolaire. Les estimations sont éloquentes : alors que 2,5 % des enfants scolarisés entre la maternelle et la terminale (300 000 en France) affichent un Q.I. de plus de 130 (0,1 % dépassant les 145 !), plus d’un quart d’entre eux ne vont pas jusqu’au bac. En dehors de la présence possible d’un trouble comme la dyslexie, les psychologues expliquent ces difficultés par ce qu’ils appellent une dys-synchronie entre le développement émotionnel et intellectuel de l’enfant : autrement dit, si leur intelligence est supérieure à celle des autres enfants de leur âge, leur développement émotionnel, lui, ne l’est pas. Ils accèdent donc à des informations qu’ils ne sont pas encore capables de gérer”. Autre caractéristique de ces enfants : leur pensée est rapide, intuitive et foisonnante. Ils raisonnent par associations d’idées et mémorisent sans effort. Dans les petites classes, ils ne voient pas l’utilité de se plier aux méthodes de mémorisation et de réflexion que l’école inculque aux autres élèves. Le problème survient au collège quand, pour obtenir de bonnes notes, l’enseignant leur demande non seulement de trouver la bonne réponse, mais aussi d’expliquer la démarche permettant de l’obtenir telle qu’elle a été enseignée en classe. Ce qui va à l’encontre du raisonnement des enfants surdoués. Bien qu’ayant les connaissances, ils n’arrivent pas à entrer dans le moule que l’école leur impose, laquelle n’est pédagogiquement pas faite pour les petits génies – ni pour les cancres, d’ailleurs. Enfin, un autre handicap peut perturber la scolarité de ces élèves qui sortent du cadre. En 2013, lors d’une conférence de l’Afep (Association française pour les enfants précoces), le neuropsychiatre Olivier Revol évoquait le cas d’un de ses jeunes patients : sa mère exigeait qu’il saute une classe car il lisait déjà parfaitement et s’ennuyait. La maîtresse, elle, s’y opposait, assurant qu’il ne maîtrisait pas la lecture.Pour preuve, cette dernière appelle l’enfant et lui demande de lire à voix haute. Celui-ci s’exécute : « LA-PE-TI-TE-MAI-SON-DANS-LA… », lit-il en marquant péniblement chaque syllabe. La mère se fâche et lui ordonne de lire normalement. L’enfant recommence et, cette fois, sa lecture est parfaitement fluide. La maîtresse, interloquée, lui demande pourquoi il ne lit jamais aussi bien en classe. L’enfant répond : « Parce que quand les autres lisent comme ça, vous leur dites que c’est très bien et vous leur mettez 10/10… » On appelle cela l’effet « Pygmalion négatif » : pour correspondre aux attentes de son professeur, l’enfant surdoué tenterait maladroitement de se mettre au niveau des autres, feignant d’ignorer ce qu’il sait. Passant ainsi pour un élève médiocre”

 

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